Mardi 23 juin 2 23 /06 /Juin 03:36

Certains on peut être déjà vécu cette situation..
 Ma mère avec qui, depuis quelques mois je couchais en présence et avec la bénédiction de mon beau père Daniel, évoquais le fait de tout arrêter.
En effet mon beau père voulait que nous poussions le jeu à faire ça avec son père Henri. Un homme très sympathique, veuf et qui portait très bien ses 75 ans. Il ne ressemblait pas vraiment à son fils Daniel. Beaucoup plus gros, voir légèrement obèse, il était de compagnie agréable. Ancien agriculteur, il avait ce franc parlait des gens de la terre. Il appelait ma mère sa bru - comment qu'elle va ma bru s'éclaffait t'il quand il voyait ma mère.


Après ces quelques minutes de silence je repris en disant
- Ecoute maman si tu veux faire plaisir à Daniel, je peux si tu le souhaite, ne pas assister à vos ébats avec son père, je lui dirais que je ne suis pas d'accord. Tu seras peut être plus a l'aise.
- Ce n'est pas que ça répondit ma mère. Si j'accepte, après il voudra le faire avec tes frères, voir peut être même avec ta femme ou avec n'importe qui.
- Tu n'as qu'a lui imposé une barrière a ne pas franchir et je te suivrais dans ce sens.
- Ecoute me dis ma mère je vais te confier un secret, jure de ne pas le répéter
- Je te le jure maman
- Tu le jure
- Oui je le jure

Au début quand j'ai connu Daniel, j'étais séparé de ton père depuis 3 ans, les six premiers moi nous avions des relations normales. Puis il a commencé a surfer sur le net, a dialogué avec d'autres personnes, il m'a convaincu de faire l'amour devant la webcam devant des couples ou des hommes, jusqu'à là pas de problème. Je trouvais cela plutôt amusant. Puis un jour, devant un site zoophile, il m'a demandé de faire la même chose avec un chien - j'ai bien sur refusé. Revenant sans cesse sur le sujet j'acceptais de me faire lécher la chatte par notre chien Rocky, j'ai même fait une pipe au chien. Je trouvais cela répugnant. Il a arrêté sur ce chemin, quand j'ai menacé de le quitter. Quelques semaines plus tard, il était en grand conversation avec ton père sur le net, sans que je le sache, il lui a donné rendez vous dans un bois. Il m'a demandé d'accepter de sucer une bite les yeux bandés et de faire de l'exib dans ce bois.


J'ai accepté, sans le savoir j'ai sucé ton père qui était devenu son complice d'un soir et comble de tout pour faire plaisir à Daniel, j'ai même accepté qu'ils m'enculent à tour de rôle dans la voiture. Daniel avait pris des photos ce soir là. Je les ais découverte sur son ordinateur. J'étais folle de rage quand j'ai vu que j'avais fait ça avec ton père que j'ai quitté . Donc tu vois, si j'accepte, il ne s'arrêtera pas. Et puis son père - oh non - tu ne vois pas comment il est physiquement - Il a assez de moyen pour se soulager autrement.

Je devinais que la blessure de la séparation avec mon père était encore très présente dans sa vie. Ce qu'elle venait de me confier ne me choquait pas J'étais même admiratif devant cette femme, qui avait fait beaucoup de sacrifice, pour nous ses enfants mais aussi pour ? ses hommes ?, qui certainement ne la méritait pas. Je voyais qu'elle avait accepté beaucoup de choses, certainement inavouables, mêmes si cette fois ci elle avait été loin dans la confidence J'avais envie à cet instant de la prendre dans mes bras, de la serrée très fort. Je l'aimais oui je l'aimais, comme une mère, comme une amante, comme une femme.
Mais doit-on tout accepter tout pour montrer à la personne avec qui l'on construit sa vie, que notre amour est grand ?

Ecoute lui dis-je, je pense que même si Daniel t'as demandé tout ça, il t'aime vraiment. Tu es vraiment le centre du monde pour lui. J'aimerais que ma femme quelques fois accepte de mettre de l'aventure dans notre vie sexuelle.
Oui mais vous êtes encore jeunes, dis ma mère
Ce n'est pas une question d'âge maman. Je suis très jeune est pourtant j'ai beaucoup de plaisir à faire l'amour avec vous. Je ne confonds pas les sentiments et le plaisir.

Très énervé par notre conversation, écoute me dis t'elle j'ai envie de me détendre assis toi dans le canapé. De toute façon tu es venue pour ça. Je m'exécutais sans réfléchir, elle défit ma braguette, m'extirpa mon membre et me suça. Je gémissais de plaisir, au bout de quelques minutes elle s'arrêta, enleva sa robe, sous laquelle, elle ne portait rien et vient s'empaler sur ma bite. Je poussais un Oh de plaisir. Assis sur le canapé, je pris ses deux seins dans mes mains que je commençais à sucer, une caressa qu'appréciait beaucoup ma mère. Elle ondula doucement sur ma bite. Ca te plait me dit- elle - oh oui maman que c'est bon, tu es toute chaude. Elle accéléra la cadence en donnant de grand coup de bassin, pliant le buste pour que je puisse mieux lui suçait les seins. Je lécher ses tétons, malaxant ses grosses auréoles qui ressortaient avec sa peau mate - elle poussait de petit cris- oh oui - c'est bon, tu aimes voir ta mère comme ça hein- tu es aussi vicieux que Daniel - Toi aussi tu aimerais que je me fasse le vieux hein. Vous vous voulez que je sois votre pute.
Je répondis oui je voudrais - mon membre glissait dans sa chatte, cognant le fond - je luis saisis les fesses puis essaya de lui mettre un doigt dans le cul. Non me dit elle, tu vas me faire mal - laisse toi faire maman, je te promets d'aller doucement, j'introduis un doigt dans son anus, elle poussa un petit Ah - puis recommença a bouger, pendant ce temps mon doigt s'activer dans le fourreau bien chaud - va doucement, va doucement me dit elle. Je lui demandai - maman laisse moi te la mettre derrière ?
Non tu vas me faire mal.
Non je te promets je serais doux, fais moi plaisir.
Je veux bien essayer mais j'ai mal on arrête.

Elle se mit à genoux sur le canapé, j'entrepris de lui lécher le cul, tout en lui rentrant quatre doigts dans la chatte, déjà bien ouverte par mon sexe. Je glissais ma langue dans son trou - oh oui, oh que c'est bon, que c'est bon- nettoie bien mon cul avec ta langue - vas y enfonce là. Je branlais son cul avec ma langue comme avec une vraie bite - lubrifiant bien l'intérieur - elle jouissait. Ma langue virevolte entre ses fesses, sur sa rondelle. Puis je retirais les doigts de sa chatte pour les enfoncer dans son petit trou- d'abord un puis un deuxième. Elle émettait des petits cris de plaisir

Je me relevai et présenta mon sexe à l'entrée de son petit trou. J'essayais de l'introduire, ma mère grimaçait. Elle passa une main entre ses jambes pour m'aider. Elle prit mon sexe et s'enfonça doucement dessus. En donnant de petit coup de hanche pour faire pénétrer ma bite petit à petit - ah dis t'elle ça fait mal - ah doucement, doucement - instinctivement j'avançais le bassin
Je ne vous dis pas le plaisir que je prenais, son cul était étroit, en quelques sortes je la déflorais.

Du fait que mon beau père nous ait donné la permission ou si vous préférez son consentement pour nous rencontrer l'après midi - elle se vengé quelques part de son attitude - il veut me prêter - je vais tout donner.
Et j'avoue que ce cadeau me plaisait énormément.
J'écartais ses fesses pour mieux la pénétré. Je me trouvai rapidement à lui fourrer le cul jusqu'à la garde, faisant disparaître entièrement ma queue dans son four chaud.

Ma mère a quatre pattes dans le canapé en train de se faire enculée par son propre fils.
Je commençais mes va-et-vient au fond de son cul, d'abord lentement puis de plus en plus vite. Elle criait, hurlait son plaisir. J'eu de la peine à retenir mes gémissements, moi aussi. Son bassin venait à la rencontre du mien. Je glissais maintenant facilement dans son cul. Toutes en lui malaxant les seins, je lui murmurais des cochonneries à l'oreille. - Tu sucerais pour moi le père de Daniel ?
Elle perd la tête, devient grossière, se met à dire des choses de plus en plus sales. Oui, je vous sucerais tout les deux -
Et si je te demandais de sucer un de mes frères tu le ferrais ?
Oui oui !! Tout ce que tu veux mais va plus vite encore plus vite bourre moi -. Elle était toute tremblante, parcourue par des spasmes qui se répercutent sur mon sexe. Bon bassin venait violemment taper sur son fessier, ma bite touchait le fond de son trou - elle se mit à hurler - que c'est bon mon bébé - oh mon chéri fait du bien a ta maman, oh oui encule moi bien - je suis ta salope oh que c'est bon ...
Elle m'exhortait à continuer en poussant oh oui oui vas y a fond
J'enfonçais ma bite au plus profond et jouissait dans ses entrailles-

Je restais un moment dans cette position, puis me retira. Elle se retourna s'assit sur le canapé et nettoya ma bite avec sa langue comme a chaque fois ou nous avions fait l'amour - je la regardais faire, repu et heureux. J'adorais qu'elle fasse ça après l'amour.
Elle leva les yeux vers moi et me dis - ça ta plus
Oh oui maman tu as été merveilleuse, j'ai pris un pied d'enfer -
Tu as déjà fait ça avec ta femme.
Non elle m'a toujours refusé ce plaisir
J'espère me dit elle - quand tu parlais de ton père et de tes frères tout à l'heure que tu plaisantais ?
- Bien sur, je fantasmais, ne t'inquiètes pas, c'était pour le délirer et uniquement pour cela.
- Et pour le père à Daniel maman que décides-tu ? Je pense franchement que ça serait le super pied.
- Tu crois me dis ma mère, franchement il est vieux est vraiment pas beau.
- Tu sais maman je comprends Daniel rien qu'a l'idée te voir sucer se vieillard, j'en bande d'avance.

Elle sourit en me disant - tu es aussi vicieux que Daniel - oh fait tu ne dois rien lui dire sur ce que nous avons fait cette après midi - il ne s'est rien passé d'accord ?
Ok d'accord, mais si il me demande pour son père ?
Dis lui que je réfléchis, je ne sais pas encore, si tu es là, alors peut être, on verra. En tous cas je ne ferrais pas tout avec lui et seulement sous certaines conditions.
J'ai surtout peur, pas de le faire, j'ai fait bien pire, mais des suites que cela peut avoir.
Je remarquais que pour la seconde fois, elle me demandait de mentir à Daniel.
Par Sarah - Publié dans : Histoire Inceste
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Mardi 23 juin 2 23 /06 /Juin 03:29
Il fait beau et chaud ce jour là.
Je décide donc d'emmener mon chien, un setter, pour une promenade digestive.
Il y a un parc magnifique pas loin de chez moi dans lequel nos amis à quatre pattes sont admis.
Mon chien est très obéissant et je peux me passer de le tenir en laisse.
Il va ainsi à droite et à gauche pendant que je continue de marcher.

Je croise d'autres promeneurs jusqu'à ce que ...
: - Tiens, Christelle ! comment vas-tu ' - Et bien comme tu vois, je fais du jogging.
Mon chien, me voyant arrêté, revient sur ses pas et s'approche de Christelle par derrière et, comme n'importe quel chien, lui flaire les fesses.
Surprise, elle sursaute et pousse un petit cri.
Je la rassure aussitôt, m'excuse et fais asseoir Rex.
Nous ne discutons pas longtemps car elle doit finir son jogging, mais elle me propose de passer boire un verre d'ici une heure et demie, le temps de rentrer chez elle et de prendre une douche.
N'ayant rien à faire de mon après-midi, et Patricia, ma femme, ne devant rentrer que tard ce soir, j'accepte l'invitation.

Je dois vous dire que Christelle n'est qu'une copine de notre couple.
Nous la voyons de temps à autre sans jamais avoir essayé d'approfondir nos relations.
Elle est sympa, sans plus.
C'est une jeune femme d'une trentaine d'années, charmante blonde aux cheveux bouclés, mais des yeux d'un bleu profond et très souriants.

Ayant fini la promenade, nous nous dirigeons, Rex et moi, au 27 rue des églantiers.
Christelle habite un petit immeuble de 2 étages ou elle occupe un appartement charmant.
Je sonne et presque aussitôt la porte s'ouvre.
Notre hôtesse a échangé sa tenue sportive contre une petite robe légère s'arrêtant juste au-dessus du genou.
Une colonne de boutons la tient fermée.
Je m'assois dans le canapé alors qu'elle choisit le fauteuil situé juste en face.
Les rafraîchissements sont déjà sur la table et nous commençons à boire en discutant sur le fait que cela faisait un bon bout de temps que nous ne nous étions pas vus.
Je lui expliquais que Patricia en moi avions une vie très dense, et que ce n'était pas facile de garder contact avec tout le monde.
Pendant ce temps, Rex visitait l'appartement et flairait le moindre recoin.

- Si cela te gêne, je peux l'attacher ssur le balcon ' - Mais non, ne t'inquiètes pas, j'ai l'habitude des animaux.
Et, laissant faire toutou, nous continuons de parler de choses et d'autres.
Les lieux ayant été inspectés, le chien vient maintenant quémander quelques caresses.
Vers moi tout d'abord.
Puis il se dirige vers elle, s'assoit, la regarde et attend la caresse.
Christelle lui pose la main sur la tête, et le chien, satisfait, pose sa tête sur les genoux de la propriétaire de la main.
Pour mieux profiter des caresses, Rex s'avance un peu plus et vient se placer tout contre le canapé, entre les jambes de la jeune femme.
- Il a vraiment un poil soyeux, dit-elle en continuant de donner des caresses.
Elle a vraiment l'air d'aimer les animaux, et le chien le sent bien et se love de plus en plus entre ses jambes.

Mais c'est un mâle, avec tous ses instincts de mâle.
Je vois son museau plonger devant lui et sa truffe aller flairer le pubis de Christelle.
Surprise par ce mouvement, elle tente de retenir Rex, mais n'osant lui faire mal, elle le laisse faire en continuant de le caresser.
Je me lève, me préparant à le tirer par le collier.
- Non, laisse-le ! il ne fait pas de mal ! me dit-elle d'une voix légère.
- Tu es sure ' - Oui, il finira bien par s'arrêter ...
Je me rassois donc, prêt à intervenir à nouveau, et je suis abasourdi par ce que je vois se dérouler devant moi.
Christelle, tout en lissant les poils de l'animal, se laisse aller en arrière et ne semble pas gênée du tout par ce qu'entreprend Rex.
Son museau est planté dans le haut des cuisses de la jeune femme, et je l'entend flairer sa découverte.

Christelle me sourit en remarquant que mon chien est un coquin, mais elle ne fait rien pour échapper à la truffe inquisitrice.
Je vois ses mains se déplacer sur l'ouverture de sa robe et défaire le bouton situé au niveau de sa petite culotte.
Le museau s'engouffre alors dans la brèche et commence à donner de petits coup de langue, comme pour déguster.
Elle laisse aller sa tête en arrière et, un sourire béat sur les lèvres, s'abandonne totalement.
Je n'en reviens pas, je n'ai jamais assisté à une scène pareille.
Les mains posées sur le crane du chien, elle émet de petits gémissements de plaisir.

Le spectacle est vraiment étrange, mais il me trouble un peu.
Je rêve, ce n'est pas vrai, je vais me réveiller.
Mais non, les images continuent de défiler sous mes yeux.
Un érection naissante se fait ressentir et je pose ma main sur mon pantalon pour tenter de la contenir.
Le chien, lui, continue son exploration et je vois sa langue fureter sur la petite culotte.
Puis, soudain, une main se fraye un passage et vient tirer sur le côté cet obstacle de tissu.
Le chien se met à trembler et son museau s'agite.
Sa truffe poursuit l'exploration et se met à frotter la toison blonde de la demoiselle qui, le regard dans le vague, écarte le plus possible son slip en coton.
Je vois ses cuisses continuer de s'ouvrir lentement, laissant ainsi plus de place au fouineur.

Je m'imagine à la place de mon compagnon, et l'érection se fait plus violente.
Ma main pénètre par ma braguette ouverte et masse mon sexe qui durcit de plus en plus.
La truffe de Rex a maintenant trouvé l'ouverture secrète et commence à s'insinuer entre les grandes lèvres du magnifique sexe féminin qui s'offre à lui.
Sa langue continuant de laper à petits coups.
Christelle est aux anges, elle ferme les yeux et passe sa langue sur ses lèvres d'un air réjoui.

Moi, je suis dans un état second, et sans m'en rendre trop compte, je me lève et sors ma queue que je commence à branler.
Puis, je vais me placer à côté du fauteuil ou se trouve Christelle.
Ma main libre se pose sur sa poitrine.
Aucune réaction de sa part, comme si elle s'attendait logiquement à cette suite.
Juste son sourire qui se fait plus radieux.
Je commence à masser la petite poitrine à travers la robe, puis mes doigts se glissent entre deux boutons et vont au contact direct de la peau soyeuse de ses seins.
Le bout de mon index entre en contact avec un mamelon qui se tend encore plus.
Il se met à jouer avec, le fait rouler sur lui même, ce qui a pour effet de tirer des gémissements plus forts de la gorge de notre partenaire.
Christelle, écartant toujours sa culotte de la main gauche, vient saisir mon sexe de la main droite et le presse doucement comme pour en tester la consistance.
Je vois Rex s'exciter de plus en plus, son museau fait des mouvements de plus en plus désordonnés et sa tête donne l'impression de vouloir entrer de force dans cette grotte humide et odorante.
La tête de Christelle balance de droite à gauche et elle gémit de plus en plus.

Puis, soudain, elle repousse le chien, se met à genoux devant le canapé, relève sa robe, dévoilant ainsi une magnifique paire de fesses, et s'accoude sur le canapé.
Aussitôt, Rex revient à l'assaut, et pointe sa truffe sur la zone sensible de Christelle qui sursaute de plaisir au contact.
Le chien, totalement excité, jette ses pattes avant sur le dos de la jeune femme, et enserre sa taille, son sexe venant se placer entre ses cuisses.
En appui sur un coude, Christelle le guide en elle avec un soupir de plaisir.
Rex entame aussitôt ' la danse du mâle sur la femelle '.
Christelle gémit de plus en plus et, de sa main libre, saisit mon sexe et le porte à ses lèvres.
Sa langue se lance alors dans une farandole endiablée autour de mon pieu qui, me semble-t-il, va éclater.
Rex s'active vivement dans le sexe de la jeune femme ; ses yeux sont exorbités.
Pendant ce temps, ma main s'est glissée dans ses cheveux et je la plaque contre mon bas-ventre avec l'envie d'être aspiré totalement par cette bouche pulpeuse.
Le chien, lui, se crispe et se répand dans la chatte de Christelle.
Il se retire, et se met à la lécher, puis va se coucher dans un coin.

La jouissance n'est pas loin de nous gagner et c'est à longues saccades que j'éjacule au fond de la gorge de ma partenaire, pendant qu'elle se crispe et se met à pousser un long feulement et s'écroule sur le canapé.
Après quelques minutes de repos, elle se dirige vers la douche pendant que Rex et moi-même, reprenons le chemin de la maison.
Par Sarah - Publié dans : Histoire Zoophile
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Mardi 23 juin 2 23 /06 /Juin 03:25
Je me rappelle bien de cette soirée ou nous avions invité un couple de nos amis dont l’origine de nos contacts remonte aux années-collège.

La soirée s’était passée de façon très agréable, et l’alcool aidant, nous nous retrouvions après le dîner, au salon, plus ou moins affalés les uns les autres à discuter de nos anciens camarades d’école et autres copains de classe.

 

Nous voilà donc tous les quatre a parler de cette fameuse année du Bac, lorsque je ne sais trop comment, entre Ryan et moi monta un désaccord justement sur l’année en question, où lui dit qu’il s’agissait de 1989 et que moi j’affirme sous le regard amusé de nos amis que non pas du tout, et qu’il s’agit bien de 1990 ! Les effets du vin me donnaient de l’assurance, et je n’en démordais pas, jusqu’à lancer “ Je veux bien danser a poil sur la table devant vous tous, si tu me prouves que notre Bac, c’était en 89 ! “ J’ étais sûre, et assez fière de moi sur ce coup là, car connaissant mon homme, je savais qu’il n’avait aucune mémoire des dates.

Il n’y avait donc aucun risques que je finisse a poil, debout sur une table, a danser… ça ce serait n’importe quoi !
Ryan ne démordait pourtant pas de l’année 1989 paraissant anormalement sûr de lui, et j’avoue qu’au bout d’un moment , les sourires discrets de nos amis, qui commençaient à ne pas être discrets du tout, finissaient par m’énerver un peu.
Le ton calme que prenait Ryan ne me disait rien qui vaille non plus, et le temps passant je commençais a perdre de ma superbe.
En plus, il commençait à me parler de la Chèvre de Mr Seguin qui était trop sûre d’elle et que si je continuais a m'entêter, au petit matin le loup me mangerait, et cet humour là ne me plaisait pas du tout.

C’est à ce moment là que Valérie se leva et clama qu’elle allait mettre tout le monde d’accord parce que elle, elle détenait la vérité ! puis elle se dirigea vers la tablette où était posé son sac à main.
Valérie était une jolie femme brune aux yeux bleus de taille moyenne, elle avait une plastique parfaite pour son âge, ce qui faisait rager bon nombre de femmes de notre entourage y compris moi.
Le fait qu’elle ait ôté ses chaussures lui donnait une démarche souple, et sa robe légèrement transparente montrait bien la finesse du fil de son string.
Je la regardai promener son mètre soixante cinq jusqu’à l’entrée pour sortir de son sac le document qui tue…



Ryan trouvait cette femme sans saveur, sans odeur ni couleur, et l’expression qu’il prenait quand il la regardait avait le don de me faire rire, d’habitude… mais pas forcément ce soir là.

Un ange passa, lourd et pesant, laissant à Ryan le temps de se lever, et de mettre un fond musical en disant que pour un strip-tease, il fallait absolument l’ambiance adéquate… ! Celui là il commençait vraiment à m'énerver grave, et chèvre ou pas chèvre, je lui aurai bien donné deux ou trois coups de corne sur le champs, à ce Mr Seguin là.
Le silence assourdissant du mari de Valérie commençait à me rendre moins sûre de moi, surtout qu’à l’air de Merlan frit qu’il prenait tout en ayant le même sourire que le camembert que j’avais en ce moment même au fond du frigo, je voyais bien que le vent tournait en ma défaveur.

Valérie revint, une photo à la main, qu’elle posa sur la table du salon, repoussant les verres d’un revers de main.
On pouvait clairement y voir notre bande de joyeux lurons le soir de la remise des diplômes, les regards éméchés, et les mouvements incertains qui montraient bien que la Tequila avait fait bien des ravages à ce stade de la soirée.

Nous sourirent en revoyant ce petit monde, ce qui ne m'empêcha pas de m’exclamer “Et alors, ça prouve quoi ? “
Valérie me dit qu’il y avait une date derrière…
La retournant je pu y lire, écrit d’une écriture d’écolière studieuse “1989”.
Je tempêtais ! : C’est une erreur , tu t’es trompée ! Je savais qu’il ne fallait absolument pas compter sur le soutien du camembert souriant, et encore moins du monsieur Seguin mort de rire au fond de son fauteuil.

Le mari de Valérie s’était saisi de la photo et l’air pensif mais toujours souriant, dit doucement “Vous avez une loupe, dans cette maison ? “
Ne voyant pas très bien le rapport, je lui dit de tendre le bras jusqu’ à ce tiroir ou était justement cet accessoire dont se servait souvent Ryan.

Il s’en empara et après examen de la photo il explosa de rire en me disant qu’il était très content de cette soirée avec nous.
Là, je fus carrément inquiète et me rapprocha de lui.
Il me montra le calendrier accroché au mur de notre chambre d’étudiant de l’époque, arborant un fier “1989”…

Jamais je ne trouvai une année aussi déprimante que celle de 1989, et un immense moment de grande solitude s’empara de moi…
J’avais sur moi maintenant, posés trois paires d’yeux rayonnant et malicieux dont les regards lubriques montraient bien que je n’avais désormais aucune chance de me sortir de ce guet-apen.

Bon. Je n’étais pas non plus fille à me dégonfler.
Donc, changement d’ambiance, et À coeur perdu, rien d’impossible, ou quelque chose de ce genre là. De toutes façon peu importait à ce stade que la citation fut exacte, je sus qu’il fallait que j’aille au bout de ma provocation, après tout c’est bien moi qui avais lancé ce défi.

C’est donc en ondulant doucement que je débarrassa la table carrée et basse du salon, enlevant en dansant tout ce qui pouvait s’y trouver.
Je claquai des doigts vers Ryan afin qu’il abaisse la lumière jusqu’à ne laisser que nos deux petites lampes allumées, puis j’ôtai moi aussi mes chaussures.
La musique était lascive a souhait, et Ryan me tendit un verre de vin en guise d’encouragement.
Je le but lentement, tout en dégrafant un bouton du bas de mon chemisier blanc.
Fermant les yeux , et d’un mouvement des hanches je montai sur la table tout en dansant en rythme lent sur cette musique tout a fait adéquate que Ryan avait lancée voilà quelques minutes.
Je passais le revers de mes mains tout au long de mon corps depuis mes hanches jusqu’à mon ventre, remontant ensuite a l’entour de chacun de mes seins, sur lesquels je m’attardais, les laissant poursuivre leur chemin en une véritable caresse sur le haut de ma poitrine.

Je continuais a onduler ainsi, et ma jupe noire et courte aidant, je m'accroupis légèrement tout en dansant et en faisant couler mes mains a plat sur l’intérieur de mes cuisses, depuis mes genoux jusqu’au haut de celles ci .
Les yeux fermés jusque là, je les entrouvris pour voir un peu l’effet produit, et je vis que l'intérêt de mon public n’était pas feint du tout.
L’ambiance avait changé du tout au tout.

Valérie s’était accroupie au pied de la table, à un peu moins d’un mètre.
Sylvio, lui, s’était un peu relevé de son fauteuil, juste avancé un peu le buste.
Seul Ryan me regardait de loin, me caressant du regard, depuis le bas de mon corps jusqu'à mes yeux entrouverts.

Je savais la force de l’observation du détail que possédait Ryan, et le fait qu’il m’observe ainsi avait pour effet de m'électriser légèrement.
Je lui souris tout en continuant ma danse et en ôtant le deuxième bouton de mon chemisier.
Mon regard a ce moment balaya dans la pénombre créée le sol ou se trouvait Valérie.
Elle était assise, les jambes croisées, sa robe remontée très haut montrait maintenant le devant de ce string que j'avais décelé quand elle s'était levée tout a l'heure; ses mains fines et longues étaient posées sur ses chevilles, et elle me regardait un très léger sourire au coin de ses lèvres.
De là ou elle était placée elle pouvait voir le haut de mes cuisses jusqu'à ma culotte blanche dont le détail de la fine dentelle ne pouvait être vu dans la pénombre.

Je défis le troisième des quatre boutons de ce chemisier, lui laissant apparaître le bas de mes seins qui ce soir là avaient oublié de se munir d'un soutien gorges.
Le regard de Sylvio prit une allure fixe a ce moment, et je senti que l'ambiance de mon salon n'était plus vraiment au ludique maintenant.

Les mouvement ondulés de mon corps auxquels s'ajoutaient les caresses de mes mains me mettaient moi même dans une sorte de transe dans laquelle l'alcool me chavirait un peu. Je ressenti une atmosphère agréable, et me disais que je pourrais continuer a danser ainsi sans que jamais cela ne s'arrête.

Etre ainsi l'objet de tous les regards animait mes sens plus que je ne l'aurais cru, le contact de mes propres mains sur moi ne devenait plus innocent. Le passage de mes doigts sur le bas de mon ventre, remontant vers ma poitrine a demi nue maintenant, ne se protégeant des regards que d'un seul bouton avait pour effet de m'exciter doucement, de manière très insidieuse.

Mon regard balaya a nouveau le sol et distingua les chevilles nues de Valérie, sur lesquelles seule une main était restée.
Je vis clairement que sa main droite était sur le haut de sa cuisse qui m'apparaissait, elle bougeait lentement, se rapprochant de son entrejambe.
Les yeux à demi fermés dans cette pénombre, seule moi savais que j’avais le regard fixé sur ce mouvement de sa main, le reste de mon corps ondulant au rythme lent de la musique
Cette danse était pour moi devenue une transe, et c’est lentement que mes mains se posèrent sur mes cuisses, se déplaçant vers leur intérieur, puis remontèrent vers mon basin, relevant ma jupe noire en dévoilant le contraste de ma culotte blanche un instant.

Mes mains ne s'arrêtèrent pas, poursuivant leur lent chemin jusqu’au haut de mon chemisier, dégrafant le dernier bouton, et libérant ainsi ma poitrine.
Cette ambiance avait attisé mes sens, et les pointes fermes de mes seins étaient comme une sorte de provocation aux regards sans mouvement de mon public restreint.
Je plaçai mes mains au dessous de ma poitrine, la soulevant légèrement, puis caressant leurs pointes du bout de mes doigts en un geste empreint de volupté.

Valérie bougeait lentement son bassin, maintenant. Je pouvais voir clairement sa main posée entre ses cuisses fuselées et ses doigts qui s’appuyaient sur le devant de son string, sans bouger vraiment, comme apposant une légère pression, simplement.

La position de sa main sur son intimité et l’idée que mon corps pouvait l’exciter produit un effet secondaire sur moi, et je senti curieusement ma tension monter d’un cran.

Je tournai le dos a mon petit groupe, et donnai à mes gestes un mouvement fait de larges arabesques se terminant sur mon buste et libérant mon chemisier que je laissai négligemment tomber au sol.

Le buste maintenant parfaitement nu, ne cessant de me caresser et les yeux mi clos, mon imaginaire m’emporta complètement, et c’est sans vraiment m’en rendre compte que je déboutonnai le haut de ma jupe pour la faire glisser très lentement à mes chevilles.

Lorsque je me retournai d’une oscillation, je pus voir, en présentant mon corps presque nu aux regards de mon public qu’une certaine tension flottait.

Ryan, impassible était littéralement en admiration, l’attitude empreinte de sérénité, une lueur de fierté montrée par son port de tête malgré son attitude détendue.
Sylvio s’était approché un peu , les mains jointe et très attentif au détail de mes courbes, tandis que Valérie se caressait doucement, la tête inclinée.

J’esquissai alors un geste de mes deux mains qui s’accrochant a ma culotte, commença à la faire descendre de ma taille, dégageant totalement mes fesses et mon pubis, mais restant à danser comme cela quelques minutes, faisant s’étirer le temps et croire que j’allais ôter ce qui me restait d’habit. Puis me ravisant, je la remis à sa place, jouissant de la déception de mon public.

Je fis un geste complice a Ryan, lui réclamant un autre verre qu’il me servit de la main gauche, mettant son autre main sans ambages sur mon sexe, passant ses doigts entre le haut de me cuisses.

Cela irradia d’un coup mon bas ventre déclenchant une vague de désir.
Il se rassit paisiblement tandis que je buvais ce si bon vin frais qui me chavirait peu a peu.
Cela dura un moment, et je sentais l’ambiance changer au fil de mes mouvements lascifs, chargée d’érotisme
Tout en dansant, je tendis a Valérie mon verre vide.
Elle mit quelques secondes a réagir, alors, dansant toujours, je m'accroupis jusqu'à poser mes genoux au contact de la table, le bras tendu. Elle me le prit des mains, le regard vide, un sourire aux lèvres, que je ne lui connaissais pas.

Je renversai mon corps en arrière, écartant les cuisses fasse à elle, tout en donnant a mes hanches une ondulation très suggestive.
Elle n’y tint plus.
Sans relever la tête , je sentis ses deux mains sur le dessus de mes cuisses, posées , sans bouger. Elle s’était relevée, s’approchait de moi.
Je relevai doucement mon buste, entrouvrant les yeux pour voir Sylvio qui abaissait la fermeture éclair au dos de sa robe.
Valérie me caressait l’intérieur des cuisses, juste du bout de ses doigts. C’était tout léger. Sylvio, après avoir ouvert complètement le dos de sa robe, avait introduit ses deux mains vers le devant de son corps et devait lui caresser les seins.

Ryan de son coté, complètement affalé sur le canapé ne regardait que moi, une main sur son entrejambe, qu’il bougeait très doucement.
Sylvio continuait de caresser les seins de Valérie en se collant a elle, de derrière, me regardant de très près lui aussi, cuisses écartées fasse a eux.
Lorsqu’ elle fit glisser ses mains a l’intérieur de mes cuisses, je me levai, toujours en dansant, la laissant les mains vides.

Je la vis se défaire tendrement des mains de Sylvio en se levant elle aussi, faisant alors tomber sa petite robe sur le sol, elle se retrouve en un simple geste presque nue, simplement couverte de ce string que j’avais remarqué depuis le début de la soirée.

Elle me rejoignit sur la table, puis ondulant en parfaite synchro avec moi, nos corps se touchèrent, ou plutôt non…s’aidant de son bras qu’elle avait passé autour de la taille, elle se colla à moi, plaçant le haut de sa jambe droite entre les miennes, elle m’attira contre elle doucement tout en dansant.

Le bas de mon corps s’appuyait maintenant complètement sur le le sien, et le haut de sa cuisse, au rythme lancinant de la musique, caressait littéralement mon sexe au travers du tissu léger de ma culotte.


Je collai ma poitrine à la sienne, me laissant envahir par le parfum de son corps que je ne connaissais pas, glissai ma main sur ses reins, palpant du bout des doigts le haut de ses fesses fermes, alors qu’elle se saisit de ma culotte, comme furieuse qu’elle existe encore, la tirant a elle , simulant le fait de l’arracher.
Cela pressa le tissu contre ma vulve, entrainant un léger coup de reins de ma part pas tout a fait contrôlé.

Je me laissai tomber très doucement à ses pieds, parcourant ainsi de mes lèvres tout un chemin, celui du haut de sa poitrine, de la pointe d’un sein durcie sur laquelle je ne m’attardai pas, de son ventre qui ondulait, du haut de sa cuisse, puis, comme un peu fatiguée, je m’assis simplement sur la table, la voyant à son tour danser au dessus de moi.

Je m’allongeai cette fois ci, en parfaite diagonale de la table, glissant mon corps entre ses jambes, regardant le mouvement du haut de ses cuisses depuis le bas, quelques secondes seulement, car elle aussi descendit son corps.
S’asseyant a moitié sur le mien, elle se pencha vers moi et me couvrant le visage de ses cheveux, je sentis les pointes de nos seins s’effleurer car elle bougeait son corps sur le mien sans s’y appuyer, nos seins se frottant les uns aux autres.

Puis elle se recula, mettant ses mains d’abord sur ma poitrine nue, et faisant glisser ses doigts sur mes flancs lentement, jusqu’à s’accrocher à ma culotte, et l’abaissant, m’incitant à relever mon bassin, ce que je fis.
Elle l’ôta alors complètement d’un trait, me laissant totalement nue, en diagonale de cette table, la tête un peu légère de cet alcool qui me troublait, les jambes de part et d’autre du coin de cette table. Offerte.
Je sentais qu’il ne s’agissait plus d’un strip-tease, et je ne comptais pas me relever de suite.

Mon corps était excité de cette ambiance, de ces attouchements, de cette musique, et du contact du corps de Valérie. Je ne savais pas exactement de quoi j’avais besoin en cet instant, mais je me sentais, me voulais donnée comme un cadeau , me ressentais en attente.

Plein d’idées follement érotiques me traversèrent, me voyant nue, debout, sentant entre mes doigts un sexe d’homme très dur, ma main se déplaçant entre mes jambes voulant sentir le haut de mon clitoris devenu ferme lui aussi, tandis que ma bouche s'humidifia du désir de ressentir Ryan sous ma langue. Cela n’était pas la réalité, comme un songe, mais à la fois un besoin réel, bien plus qu’une envieUn sursaut de ce qui restait de volonté me fit vouloir rester encore en conscience avec la réalité, et je me relevai le haut du corps, m’asseyant sur le bord de la table .Ryan et Silvio s’étaient déshabillés, eux aussi, et Valérie qui finissait de lui enlever le slip se retourna vers moi, s’accroupissant et se rapprochant de mon entrejambe. Son visage, ses cheveux, si près de moi, m'enflammèrent le bas du ventre, je me cambrai et écarta mes cuisses davantage, m’offrant à sa bouche, désirant ses lèvres, réclamant sa langue.

Elle le comprit, et appliqua son visage très doucement entre mes cuisses ouvertes. Son parfum, le contact de sa tête sur mon ventre, sa bouche sur mon sexe me fit comme une déflagration qui fit plus que me rendre humide.

Valérie posa sa langue sur le haut de mon clitoris, puis sans la bouger vraiment , la fit descendre doucement vers son bout tendu.

Mon corps était maintenant arqué, tandis qu’elle m’appliquai une indescriptible caresse de sa bouche, tantôt d’une langue vive sur mon sexe mouillé, tantôt enserrant mon clitoris entre ses lèvres, faisant bouger son visage de gauche a droite doucement.

Ses lèvres me délaissèrent un instant, sa langue longeant l’intérieur de mes cuisses, laissant le bas de mon ventre irradié de désir.

C’est sans doute là que mes mains se mirent en mouvement, plongeant les doigts dans ses cheveux, murmurant un “encore” dont je ne sais s’il était perceptible.

Du bout des lèvres d’abord, sa bouche s’empara alors de mon clitoris , puis je senti sa langue, très vive… qui se plaça là où étaient mes doigts dans mon songe d’il y a quelques minutes, pour y faire le même mouvement, tandis que malgré moi je replaçais ma main sur mon sexe , sentant tour a tour mon clitoris et sa langue qui me pénétra légèrement, mes doigts la suivant dans ce chemin voluptueux.
Je ne savais plus si c’était mes doigts ou sa langue qui s’activaient en moi maintenant.

Ces quelques minutes qui se passèrent ainsi, sous le regard des autres , achevèrent de me troubler encore davantage, les yeux fermés, jusqu'à ce que je sente la main de Ryan sur l’intérieur de ma cuisse droite, en même temps qu’une autre main se plaçait au même endroit sur mon autre cuisse, me caressant alors doucement, remontant vers le haut de mon corps.

Valérie se recula, laissant la place à Ryan qui s’approcha de moi, debout.

À hauteur de mon visage se tenait son sexe en érection, se dressant tout près de mon visage. J’achevai de le mettre a nu, tandis qu’il recula , lui aussi sans que je ne sus pourquoi.
Sans doute voulait-il connaître ainsi mon degré d’excitation, savoir si je le suivrai sur cette courte distance , ou si j’étais encore capable d’attente.
Le contact du sexe de mon homme me rendit folle d’envie, et je ne lachai pas ce membre devenu dur du désir de moi.
Cette chaleur qui irradiait ma main, ce besoin de le mettre dans ma bouche, cette envie de le caresser de ma langue, étaient si fort, si impérieux que c’en était insupportable.



J’avançai mon corps, descendant de la table qui m’avait soutenue jusque là, et sans attente englouti le sexe de Ryan en m’accroupissant devant lui, sentant mon sexe ouvert, mouillé sous mes doigts qui le caressaient, s’introduisant au rythme de la fellation que je faisais en cet instant.Ryan me prit la tête entre les mains et se déplaça en arrière, sans que mes mouvement ne s'arrêtent, il s’assit sur le canapé.
Je pensai un instant que Valérie et Silvio devaient aussi s’adresser quelques tendres échanges, et jetai un rapide regard sur ce qui m’entourai.


Valérie était assise sur le fauteuil, regardant la scène que Ryan et moi formions. Elle se caressait, fermant parfois les yeux, tandis que Silvio était tout près de moi.
C’est sans y penser vraiment que je tendis la main vers lui, me saisissant de son sexe tendu.

Il gémit de plaisir en se rapprochant encore. Je serrai ma main gauche sur lui tandis que je me concentrai sur Ryan qui se laissait aller à ce plaisir offert sans se douter que je ressentais moi même d’indescriptibles sensations au contact de son membre entre mes lèvres, longeant cette virilité de ma langue, le parcourant sans cesse, l’introduisant a nouveau dans ma bouche d’un mouvement de va et vient dont la cadence variait au gré de mon désir. 


Silvio se déplaca a ma droite, passant sa main sur mes reins, puis sur mon flanc, comme un appel qui me fit me relever un instant.


Je plaçai ma main sur le bas de son ventre, la laissant doucement tomber sur son sexe, puis finalement l’enserrant de mes deux mains, tandis que je sentis Ryan glisser une main entre mes cuisses.Il s’était levé du canapé et de ses main fermes m’écartait littéralement et m’ouvrant à la perverse caresse de ses doigts tandis que je ne cessais de toucher Silvio.

Ce dernier s’assit a son tour sur le canapé, et je pris son sexe dans ma bouche en même temps que Ryan positionnait mon corps selon son désir.
Mes reins se cambrèrent lorsqu’a nouveau sa main circula sur l’intérieur de ma cuisse du bas vers le haut.
Je crois que mon corps n’en pouvait plus d’attendre, et Ryan le savait. Je savais le façon dont il allait me prendre.

Il positionna son sexe précisément contre mon sexe mouillé de désir, me caressa un moment comme cela, mes reins malgré moi se reculant vers lui jusqu'à sentir son gland , me pénétrant très légèrement sans encore s’enfoncer en moi, me faisant gémir malgré moi.

Puis il me pénétra d’un coup, me faisant relever la tête en poussant un cri de plaisir, de désir de cela, de cette sensation de la première pénétration après une longue attente, avant de sentir son sexe chaud coulisser en moi de ses va et viens d’abord lents, générant des vagues de volupté d’une indescriptible force.


J’entendais Valérie qui depuis un moment maintenant se caressait en gémissant de manière de plus en plus régulière, je savais ainsi que ses mouvement sur elle s’étaient accordés au rythme des reins de Ryan qui dans ses mouvements faisait glisser mes lèvres sur le sexe de Silvio que je sentais approcher du plaisir extrême.

Ryan avait pris une cadence régulière, et la pénétration qu’il m’infligeait m’amenait au bord de l’orgasme, ce qui rendait ma fellation très irrégulière, tant les vagues de plaisir qui me parcouraient devenais fortes.
Puis je sentis le plaisir de Silvio monter sous mes mains, il se tendit en jouissant bruyamment dans un râle de plaisir tandis que son sperme chaud coula sous mes doigts. Je vis cela se faire sans vraiment le vivre tant mon corps était maintenant sous l’entière dépendance de Ryan qui rendait son rythme plus rapide ou ralentissait , selon qu’il sentait mon plaisir monter, et voulant visiblement faire durer cet ébat.

Silvio s’écarta un peu, laissant ma tête se poser sur le canapé tandis que je m’agrippait a un coussin. Les sensations étaient devenues fortes et Ryan savait jouer de cette limite jamais atteinte ou il m’emmenait, puis me ramenait. Il me surprit en se retirant doucement pour s'asseoir sur le canapé. Je n’y tenais plus, et c’est sans attendre que je me retournai a mon tour, le regardant tenir son sexe entre ses doigts.


J’avancai vers lui en écartant les jambes, puis, lui posant les mains sur les épaules, je m’empalai sur son sexe dressé, décidée cette fois à imposer ma cadence.
L'érection de Ryan était forte, et je sentais la chaleur de ce membre en moi , comme un doux pieux me pénétrant a chacun de mes mouvements que je commandais.

Valérie s’approcha de nous par derrière moi et pendant que je donnais a mon corps ce mouvement montant et descendant, elle passait son doigt sur l’entour de mon sexe ruisselant maintenant, m’électrisant à chacun des passages de sa main.
Elle faisait cela en alternant le fait de prendre le sexe de Ryan a pleine main, le faisant bouger latéralement puis dans un léger mouvement circulaire qui s’ajoutait au contact du va et viens en moi.
Je sentais l’orgasme monter, mon ventre se durcir, les vagues de spasme se faire sentir jusqu’à m’envahir complètement et se saisir de mon corps, libérant des ondes de chaleur dans le bas de mon ventre en même temps que je sentis le plaisir de Ryan s’étendre au fond de moi, ajoutant à mon extase sous l’effet d’un plaisir extrême .

Les mains de Valérie caressant mes flancs me parurent d’une extrême douceur alors que je m’affalais sur le torse de mon homme avec cette impression de totale destruction mélangée d’épuisement.
Je ressentais toujours le sexe de Ryan, encore ferme en moi et prolongeant ce plaisir indéfinissable.
La musique était toujours là, et j’en fut surprise, ayant eu l’impression qu’elle s’était arrêtée tout ce temps.
Brouillage total de mes sens, rupture de l’espace et du temps, c’est telle une feuille morte que je m’oubliai dans les bras de l’homme que j’aime.
J'eus aussi la pensée qu’il fallait se méfier de certains strip tease, et que lancer des défis pouvait avoir du bon.

Par Sarah - Publié dans : Histoire Erotique
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Dimanche 21 juin 7 21 /06 /Juin 02:27

 

Tout a commencé le jour où, au bout de 6 ans avec mon amie, je me suis rendu compte que tout ne se passait pas au mieux dans notre vie sexuelle. En effet, après des débuts plutôt difficiles, nous étions arrivés à une très bonne entente sexuelle, mais sans jamais dépasser les limites du raisonnable. Et ça commençait à beaucoup me gêner, car j’ai besoin d’une grosse activité sexuelle pour me sentir bien.

Je ne suis pas ce qu’on appelle un Don Juan et Sarah a été la première et sera certainement la dernière; je l’aime comme un fou, mais elle ne me contente pas. Au fait, je vais comme même me présenter et présenter mon amie, je m’appelle Laurent, j’ai 25 ans, je suis châtain, 1.72m et plutôt baraqué grâce à mes 15 ans de judo derrière moi. Mon amie Sarah est une super fille à la peau laiteuse, bien faite de partout, 1.67m 55kg, elle est châtain, cheveux mi-long, des seins magnifiques qui se dressent fièrement et des fesses à damner un saint. Le seul problème est qu’elle n’est absolument pas une folle de sexe.

Les présentations étant faites, je vais pouvoir commencer mon histoire. Tout à commencé il y a 6 mois, lorsque je commençais vraiment à être en manque. Mais je ne voulais pas tromper Sarah, il en était hors de question. C’est pour cela que j’ai décidé d’en parler à une de ses meilleures amies que je savais très experte en la matière, Cathy. Ah ! Cathy, je crois que je n’avais jamais autant fantasmé sur une femme avant elle, mais je savais que jamais rien ne se passerait donc j’y allais en toute confiance.

Nous commencions donc à discuter de mes problèmes sur MSN car elle travaille sur Paris, et en effet je ne m’étais pas trompé elle était vraiment experte. Je lui dis donc que je ne savais pas comment m’y prendre pour aborder la chose avec Sarah et elle me conseilla de passer la voir pour que nous en discutions plus tranquillement. Chose difficile à faire sans éveiller les soupçons. Je décidais donc de dire à Sarah que j’avais une formation de 2 jours sur Paris et que je ne pouvais pas y couper.

Je suis donc parti chez Cathy, heureux qu’elle veuille bien m’aider dans ma difficile situation. Quelle ne fut pas ma surprise, lorsque arrivant chez elle, elle m’ouvrit la porte juste habillée d’une nuisette transparente et d’un string tout aussi transparent. Je dois avouer que ma bite fit un bon dans mon pantalon ce qui ne pouvait passer inaperçu. Elle me dit qu’elle ne m’attendait pas si tôt et que je l’avais un peu surprise, mais elle ne se démonta pas et me proposa un café. Je dois dire que l’excitation commençait vraiment à me travailler le ventre, il faut dire qu’il y avait de quoi, Cathy étant ce qu’on peut appeler une superbe femme, elle a 25 ans mesure 1.75m pour à peine 60kg, elle est vraiment magnifique avec ses cheveux noir de jais qui lui tombe au creux des reins, un cul magnifique qui ne demande qu’une seule chose et 2 petits seins qui sont un appel au viol !

Après une bonne demi-heure de discussions sur tout et rien, nous en sommes venus au pourquoi de ma venue. Je lui racontais donc toute l’histoire et ce que je voulais d’elle qu’elle ne me donnait pas. Je lui dis que j’aurais aimé tener plein de nouvelles choses, comme par exemple l’éjaculation faciale, la sodomie mais aussi des trucs plus coquins comme la regarder baiser avec un autre ou encore l’amour à trois ou plus. Là elle resta un moment sans rien dire, je me suis demandé si je n’en avais pas trop dit sur mes envies à

 

une femme qui me faisait bander autant. Mais à ma grande surprise, elle me demanda si ça me disait d’essayer tout ça avant pour être sûr que c’est bien ce que je voulais. Je lui répondis que pourquoi pas, mais avec qui ? Et là elle posa sa main sur ma cuisse en me disant qu’elle voulait bien être mon initiatrice, j’en resté bouche- bée !!!

- Alors ça te dit ou pas ?

- Bien sur, si tu savais depuis combien de temps je fantasme sur toi !!!

- Ne t’inquiète pas, je le savais.

Et là, après m’avoir dit ça, elle commence doucement à m’embrasser et à me caresser, je dois avouer que je n’ai pas bougé d’un poil, mais je me demandais franchement si je n’étais pas en train de rêver. Mais non, elle me déshabille et commence à me caresser le corps, j’étais aux anges, ma bite a rarement était aussi dure, j’étais excité comme jamais. Elle a ouvert mon pantalon et sans que je m’en rende compte, j’étais déjà nu. Et là, elle a entamé une fellation magistrale, elle a commencé par me lécher doucement le bout du gland, par petits coups de langue ce qui ne tarda pas à me faire avoir la première petite goutte qui permet de bien lubrifier le gland. Mais elle n’en resta pas là, après plusieurs allers et retours sur ma hampe, elle m’a pris en bouche et s’est mise à me sucer comme jamais on m’avait sucé ! Je ne pouvais plus rien dire, mon corps était pris de spasmes, je ne me contrôlais plus. Après plusieurs minutes de ce traitement, je sentis que mon sexe aller exploser, mais ça ne l’empêcha pas de continuer. Je jouis donc dans sa bouche en de longues saccades, et elle avala tout jusqu‘à la dernière goutte.

Elle me laissa reprendre un peu mes esprit, puis me demanda ce que je voulais faire maintenant, lequel de mes fantasme me tenait le plus à cœur, je ne sus quoi répondre tellement mes idées se bousculaient dans ma petite tête. Elle prit donc les choses en main et après s’être mise entièrement nue, ce qui ne tarda pas à me redonner vigueur, car elle avait franchement un corps sublime, elle me pris par la main et m’emmena dans sa chambre et me dit de m’allonger sur le lit. Elle se plaça sur moi de façon à faire un 69, chose que que je n’avais pas fait depuis lontemps avec mon amie et me présenta sa chatte entièrement épilée et déjà humide de cyprine. Je commençais donc à lui donner des petits coups de langue et à aspirer le jus qui commençait à couler abondamment de ses lèvres bien écartées. J’en profitais donc et lui glissai un, puis deux doigts dans la chatte en faisant de petits va et vient, ceci eut l’effet escompté et après un bon quart d’heure en alternant vitesse et lenteur je sentais qu’elle était sur le point de jouir, en effet elle s’agitait de plus en plus sur ma bouche et de plus en plus de liquide coulait de sa chatte, c’était un vrai délice. Pendant ce temps, elle avait repris ma queue, qui avait retrouvé toute sa dureté, et me refaisait une superbe fellation. Elle ne tarda pas à jouir et quel fut ma surprise lorsqu’elle lâcha une énorme quantité de cyprine ( Elle me dit plus tard qu’elle est ce qu’on appelle une femme fontaine).

Voyant que j’étais encore dur comme du béton, elle me proposa de continuer et de ne pas s’arrêter en si bon chemin. Elle se plaça à quatre pattes et me dit de venir me placer derrière elle et de la prendre en levrette; elle me dit qu’elle adore ça plus que tout. Je ne me fis pas prier et me plaçai derrière elle en venant coller mon gland à l’entrée de son vagin. Je commençais donc doucement à pousser, ne sentant aucune résistance, je la pénétrais d’un coup en venant faire claquer mon ventre contre son superbe cul. Elle laissa échapper un petit cri et me dit :

- Vas-y bourre moi comme une chienne, j’adore ca !

- Comme tu veux, mais je te préviens tu vas la sentir passer !

Je me mis donc à alterner entre de grands mouvements amples et des phases plus rapides où je la labourais littéralement et à ce régime je pouvais tenir très longtemps, elle s’en rendit compte et se dégagea rapidement pour reprendre mon sexe en bouche et l’aspirer avec frénésie. Je jouis comme jamais pour la deuxième fois en à peine une heure et comme la première fois elle avala tout mon jus sans en laisser une goutte lui échapper.
Par Webmaster - Publié dans : Histoire Erotique
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